(Liana Levi – 1987 | Mille et Une Nuits – 2001) | 180 pages
Face A – Face B, gravées au scalpel, partition littéraire, manuscrit musical, opéra-musette ou symphonie-bastringue, croches assassines et mots sanglants, jazz ou tango, recto-verso… Un disque noir que l’on feuillette pour les nuits blanches. Ce recueil est une gamme de nouvelles noires, brutales et tendres, orchestrées dans un violent crescendo. Textes virtuoses, situations sinistres et cruelles, la musique accompagne en contrepoint une écriture épurée et implacable.